109 pensées pour transformer sa vie

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La vie ne nous offre pas toujours ce qu’on attend d’elle. Quand nous voulons quelque chose, il nous faut aller le chercher car cette chose tant souhaitée ne nous sera jamais servie sur un plateau d’or ou d’argent. C’est dans ce sens que je partage avec vous aujourd’hui 109 pensées pour transformer votre vie. Vous ne serez pas forcément d’accord avec toutes ces pensées mais l’essentiel est de trouver celles qui vous parleront du fond de votre cœur, celle qui arrive au bon moment au milieu de cette situation difficile que tu traverses en ce moment.

En lisant ces réflexions, vous verrez qu’il y a plusieurs façons de les utiliser. Vous pouvez lire une seule pensée chaque jour, la méditer le matin, la répétant encore et encore jusqu’à ce que votre esprit en soit imprégné et approprié. Ou encore vous pouvez lire tout un bloc ou la totalité si l’envie vous prend. L’essentiel est de laisser ces pensées circuler dans votre tête afin de les utiliser sans cesse dans votre vie. Vous pouvez changez votre vie en ne faisant qu’une chose : changez votre façon de penser. Ces pensées ont été compilées à partir de la série de livres Conversation avec Dieu de Neale Donald Walsch.

Voici 109 pensées pour transformer sa vie

  1. Conduis-moi, Ô mon Dieu, là où Tu as arrêté que je dois aller! Je Te suivrai de tout mon cœur et sans hésitation. Et quand même je voudrais résister à Tes ordres, outre que je me rendrais méchant et impie, il me faudrait toujours Te suivre malgré moi
  2. Il n’y a rien que je ne puisses être, il n’y a rien que je ne puisses faire. Il n’y a rien que je ne puisses avoir
  3. Ne juge donc pas la voie karmique parcourue par un autre. N’envie pas le succès, ne plains pas l’échec, car tu ne sais pas ce qu’est le succès ou l’échec aux yeux de l’âme. N’appelle une chose ni calamité, ni événement joyeux, avant d’avoir décidé, ou été témoin, de la façon dont elle est utilisée. Tu ne dois pas juger, mais toujours observer et laisser faire les autres
  4. Dans le monde de Dieu, il n’y a ni obligations ni interdits. Fais ce que tu veux. Fais ce qui te reflète, ce qui te représente sous une version plus grande de ton Soi. Si tu veux te sentir mal, sens-toi mal. Mais ne juge pas et ne condamne pas, car tu ne sais pas pourquoi telle chose se produit, ni à quelle fin. Cependant, bénis tout, car tout est la création de Dieu; à travers la vie en expression, là est la création suprême
  5. Passons courageusement par-là, puisque c’est par-là que Dieu nous conduit et nous appelle. Des méchants peuvent me tuer, ils ne peuvent pas me nuire
  6. La façon de réduire la douleur que tu associes aux expériences et aux événements terrestres (les tiens et ceux des autres) est de changer la façon dont tu les perçois
  7. Rien n’est douloureux en soi. La douleur est le résultat d’une pensée fausse. C’est une erreur de pensée. La douleur résulte d’un jugement que tu as porté sur quelque chose. Retire le jugement et la douleur disparaîtra
  8. La Première Loi, c’est que tu peux être, faire et avoir tout ce que tu imagines. La Deuxième Loi, c’est que tu attires ce que tu crains
  9. Il est dit que si tu ne vois pas Dieu dans le profane et le profond, tu ne verras que la moitié du tableau. C’est une grande Vérité. Dieu est dans la tristesse et le rire, dans l’amer et le doux. Il y a un but divin derrière chaque chose et, par conséquent, une présence divine en tout
  10. Toi seul peux savoir si tu es heureux. Toi seul peux dire de ta vie: C’est ma création (mon fils), en laquelle j’ai mis toute ma complaisance. Si tes valeurs te servent, retiens-les. Mets-les de l’avant. Lutte pour les défendre. Mais cherche à lutter d’une façon qui ne nuise à personne. Il n’est pas nécessaire de blesser pour guérir
  11. La première chose qu’il faut comprendre à propos de l’univers, c’est qu’aucune situation n’est bonne ou mauvaise. Elle est, tout simplement. Alors, cesse de poser des jugements de valeur
  12. Toutes les situations sont temporaires. Rien ne reste le même, rien ne demeure statique. De quelle façon une chose change, cela dépend de toi
  13. Ce à quoi tu résistes persiste. Ce que tu observes disparaît
  14. Tu ne peux résister à une chose à laquelle tu n’accordes aucune réalité. L’acte de résister à une chose est l’acte de lui accorder vie. Lorsque tu résistes à une énergie, tu la places là. Plus tu résistes, plus tu la rends réelle, peu importe ce à quoi tu résistes. Si tu ouvres les yeux devant une chose et que tu la regardes en face, elle disparaît. C’est-à-dire qu’elle cesse d’entretenir sa forme illusoire
  15. La souffrance n’a rien à voir avec les événements, mais plutôt avec la réaction qu’on a à leur égard. Ce qui arrive, c’est ce qui arrive, tout simplement. Ta façon de réagir à ce qui arrive, c’est une autre histoire
  16. La Vie découle des intentions qu’on a à son égard
  17. II est très romantique de dire que, maintenant que l’être extraordinaire est entré dans ta vie, tu te sens complet. Mais le but de la relation n’est pas d’avoir quelqu’un d’autre qui pourrait te compléter, mais d’avoir quelqu’un d’autre avec qui tu pourrais partager ta complétude
  18. Voici le paradoxe de toutes les relations humaines : tu n’as besoin de personne en particulier pour vraiment faire l’expérience de Qui Tu Es, et… sans quelqu’un d’autre, tu n’es rien. C’est à la fois le mystère et la merveille, la frustration et la joie de l’expérience humaine. Cela exige une compréhension profonde et une volonté totale de vivre d’une façon sensée au sein de ce paradoxe
  19. Les relations personnelles échouent lorsque vous les considérez comme la plus grande chance, dans la vie, de créer et de produire l’expérience de l’idée la plus élevée que vous vous faites d’un autre. Si toute personne qui se trouve en relation se préoccupait du Soi, de ce que le Soi est en train d’être, de faire et d’avoir; de ce que le Soi est en train de vouloir, de demander, de donner; de ce que le Soi est en train de chercher, de créer, de ressentir; toutes les relations personnelles rempliraient magnifiquement leur rôle et serviraient leurs participants! Que chaque personne se trouvant en relation se préoccupe, non pas de l’autre mais seulement, seulement, seulement de Soi
  20. Tu dois d’abord voir toute la valeur de ton Soi avant de pouvoir voir toute la valeur de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord voir toute la grâce de ton Soi avant de pouvoir voir toute la grâce de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord connaître la sainteté de ton Soi avant de pouvoir reconnaître la sainteté de quelqu’un d’autre
  21. Dans toutes les relations humaines, il n’y a qu’une seule question : Que ferait l’amour, à présent? Aucune autre question n’est pertinente, aucune autre question n’a de sens, aucune autre question n’a d’importance pour ton âme
  22. Il n’est pas dit que dans les relations humaines, tu doives riposter si tu te sens blessé. Cela veut tout simplement dire que le fait de laisser un autre infliger un tort continuel n’est peut-être pas le plus grand geste amoureux, envers ton Soi ou envers l’autre
  23. Oui, ce que les autres pensent, disent ou font va parfois te faire mal, jusqu’à ce que cela cesse. Ce qui te permettra d’y arriver rapidement, c’est l’honnêteté totale le fait que tu sois prêt à affirmer, à reconnaître et à déclarer précisément tes sentiments à propos d’une chose. Dire ta vérité, d’une manière douce, mais pleine et entière. Vivre ta vérité, d’une manière douce, mais de façon totale et cohérente. Changer ta vérité, facilement et rapidement, quand ton expérience t’apporte une nouvelle clarté
  24. Aucune personne saine d’esprit ne te dirait, quand tu as mal dans une relation personnelle, de t’en écarter pour qu’elle ne veuille plus rien dire. Si tu as mal maintenant, il est trop tard pour faire en sorte qu’elle ne veuille rien dire. Ta tâche, à présent, est de déterminer ce qu’elle veut dire, et de le montrer. Car en faisant cela, tu choisis et deviens Qui Tu Cherches à Être
  25. Ne fais jamais rien, dans une relation, par sentiment d’obligation. Fais tout ce que tu fais avec le sentiment de l’occasion glorieuse que ta relation t’accorde : celle de choisir et d’être Qui Tu Es Vraiment
  26. Rappelle-toi : ta tâche sur cette planète n’est pas de voir combien de temps tu peux rester en relation, mais de choisir et de faire l’expérience de Qui Tu Es Vraiment. Ce n’est pas une raison suffisante pour valoriser les relations à court terme mais il n’y a pas non plus d’exigence de relations à long terme. Toutefois, même si une telle exigence n’existe pas, il faut ajouter ceci : les relations personnelles à long terme présentent de remarquables occasions de croissance mutuelle, d’expression mutuelle et de satisfaction mutuelle et, en soi, c’est une récompense
  27. Assure-toi que tu entres en relation pour les bonnes raisons. Je veux dire bonnes en rapport au but supérieur que tu t’es fixé dans la vie. Comme Je l’ai déjà indiqué, la plupart des gens entrent encore en relation personnelle pour les mauvaises raisons ; pour mettre fin à la solitude, remplir un vide, se donner de l’amour ou quelqu’un à aimer et ce sont certaines des meilleures raisons. D’autres le font pour apaiser leur ego, mettre fin à leur dépression, améliorer leur vie sexuelle, guérir d’une relation antérieure ou, crois-le ou non, soulager l’ennui. Aucune de ces raisons ne fonctionne et, à moins d’un changement radical en cours de route, la relation ne changera pas
  28. Assure-toi que ta compagne et toi, vous vous entendez sur le but. Si vous êtes d’accord tous les deux, à un niveau conscient, sur le fait que votre relation a pour but de créer une occasion et non une obligation, une occasion de croître, d’exprimer pleinement le Soi, d’élever complètement le potentiel de votre vie, de vous guérir de toute pensée fausse ou toute idée limitative que vous vous soyez jamais faite de vous-mêmes, et en définitive de rencontre avec Dieu par la communion de vos deux âmes si vous faites ce vœu plutôt que les vœux que tu as faits, la relation commence sur une très bonne note. Elle démarre du bon pied. C’est un très bon départ
  29. Sache et comprends qu’il y aura des défis et des moments difficiles. N’essaie pas de les éviter. Accueille-les. Avec gratitude. Considère-les comme de magnifiques cadeaux de la part de Dieu, de glorieuses occasions de faire ce que tu es venu faire dans la relation et dans la vie. Dans ces périodes, essaie très fort de ne pas voir ta partenaire comme ton ennemie ou une adversaire. En fait, essaie de ne voir en personne ni en rien un ennemi, ni même un problème. Cultive une technique : celle de considérer tous les problèmes comme des occasions… Des occasions d’être, et de choisir, Qui Tu Es Vraiment
  30. Les attentes gâchent les relations humaines. Disons que les gens ont tendance à voir en eux-mêmes ce que nous voyons en eux. Plus grandiose est notre vision, plus grandiose sera leur volonté d’atteindre et d’exposer la part d’eux-mêmes que nous leur avons montrée
  31. La plupart d’entre vous préférez laisser vos choix de vie à d’autres. Ainsi, la plupart d’entre vous n’êtes pas vos propres créateurs, mais des créatures de l’habitude : vous êtes des créatures des autres. Alors, quand d’autres t’ont dit comment tu devrais te sentir, et que cela contredit directement la façon dont tu te sens vraiment, tu éprouves un profond conflit intérieur. Quelque chose de profond en toi te dit que ce qu’ont dit les autres n’est pas Qui Tu Es
  32. On célèbre rarement celui qui choisit de suivre sa vérité personnelle. En fait, c’est tout le contraire. Non seulement les autres oublieront-ils peut-être de te célébrer, mais ils vont peut-être te soumettre au ridicule. Quoi? Tu penses tout seul? Tu décides toi-même? Tu appliques tes propres critères, tes propres jugements, tes propres valeurs? D’ailleurs, pour qui te prends-tu? En vérité, c’est précisément la question à laquelle tu es en train de répondre. Mais il faut accomplir ce travail dans une grande solitude. Sans récompense, sans approbation, peut-être même sans que personne ne le remarque
  33. Pour la plus grande part de ta vie, tu as vécu les effets de tes expériences. A présent, tu es invité à en être la cause. C’est ce qu’on appelle vivre consciemment. C’est ce qu’on appelle marcher dans la conscience
  34. Rappelle-toi, les pensées sont créatives. Alors, si tu crois que l’argent est mauvais mais que tu te crois bon… eh bien, tu peux voir le conflit
  35. Ton mental est rempli de pensées réactives, de pensées qui naissent de l’expérience des autres. Un très petit nombre de tes pensées naissent de données que tu as produites, encore moins de préférences que tu as produites
  36. Tu es ce que tu crois être. Une grande part de ton expérience actuelle est fondée sur ton expérience et pensées antérieures
  37. Rien ne t’arrive ou n’arrive par ton intermédiaire si ce n’est pour ton plus grand bien. Disons que l’âme te mène aux occasions bonnes et parfaites pour que tu vives exactement ce que tu avais l’intention de vivre. Ce que tu vis en réalité, cela dépend de toi. Ce pourrait être ce que tu avais l’intention de vivre, ou ce pourrait être autre chose, selon ce que tu choisis
  38. Je ne me préoccupe pas de ton succès matériel : toi seul t’en préoccupes. Cependant, lorsque tu atteindras certains états d’être sur une longue période de temps, il te sera très difficile d’éviter le succès dans le monde. Mais ne t’en fais pas à propos de gagner ta vie . De certains états d’âme naîtra une vie si riche, si pleine, si magnifique et si gratifiante que tu ne te soucieras ni des biens matériels ni du succès matériel
  39. Vas-y, fais ce que tu aimes vraiment! Ne fais rien d’autre! Tu as si peu de temps. Comment peux-tu songer à gaspiller un seul instant à faire, pour vivre, quelque chose que tu n’aimes pas?
  40. Dans l’ordre véritable des choses, on ne fait pas quelque chose afin d’être heureux : on est heureux et, par conséquent, on fait quelque chose. On ne fait pas quelque chose afin d’être compatissant, on est compatissant et, par conséquent, on agit d’une certaine manière. Chez une personne à la conscience élevée, la décision de l’âme précède l’action du corps
  41. Si un homme qui soutient sa famille, à tout prix, même à celui de son propre bonheur, c’est Qui Tu Es, alors aime ton travail, car il facilite ta création d’une affirmation vivante du Soi. Si une femme qui tient un emploi qu’elle déteste afin d’assumer ce qu’elle perçoit comme étant des responsabilités, c’est Qui Tu Es, alors aime, aime, aime ton travail, car il soutient complètement ton image de Soi, ton concept de Soi. Chacun peut tout aimer dès qu’il comprend ce qu’il fait, et pourquoi. Personne ne fait rien qu’il ne désire faire
  42. Le monde est dans l’état où il se trouve parce que le monde est plein de somnambules
  43. Je te dis ceci : Tu n’étais pas censé mourir. Ta forme physique a été créée comme un magnifique instrument, un merveilleux outil, un glorieux véhicule te permettant de vivre la réalité que tu as créée avec ton mental, afin que tu puisses connaître le Soi que tu as créé dans ton âme
  44. Ta perception de l’ultime réalité est plus limitée que tu ne crois alors que la Vérité est plus illimitée que tu ne l’imagines
  45. Tu ne recevras pas ce que tu demandes et tu n’auras rien de ce que tu veux parce que ta demande est l’affirmation d’un manque, et le fait de dire que tu veux quelque chose ne sert qu’à produire cette expérience précise (le fait de vouloir) dans ta réalité. Par conséquent, la prière adéquate n’est jamais une prière de supplication, mais une prière de gratitude. Lorsque tu remercies Dieu à l’avance pour l’expérience que tu choisis de faire dans ta réalité, en fait, tu reconnais qu’elle s’y trouve… en réalité. Par conséquent, la gratitude est l’affirmation la plus puissante faite à Dieu; une affirmation à laquelle J’ai répondu avant même que tu le demandes. Par conséquent, ne supplie jamais. Apprécie
  46. Toute création commence par la pensée. Toute création passe alors à la parole. Toute création s’accomplit par des actions. Ce que tu penses, mais dont tu ne parles jamais par la suite, crée à un certain niveau. Ce que tu penses et dont tu parles, crée à un autre niveau. Ce que tu penses, dont tu parles et que tu fais, se manifeste dans ta réalité
  47. Célèbre et apprécie tout ce que tu crées ou as créé. En rejeter une partie, c’est rejeter une part de toi-même. Tout ce qui se présente maintenant comme une part de ta création, assume-le, réclame-le, bénis-le, sois-en reconnaissant. Ne cherche pas à le condamner car le condamner, c’est te condamner toi-même
  48. S’il y a un aspect de la création que tu n’apprécies pas, bénis-le et change-le, tout simplement. Fais un nouveau choix. Proclame une nouvelle réalité. Conçois une nouvelle idée. Prononce une nouvelle parole. Fais quelque chose de neuf. Fais-le d’une façon merveilleuse et le reste du monde te suivra. Demande-le-lui. Interpelle-le. Dis : Je suis la Vie et la Voie, suivez-moi
  49. La première façon de faire décoller ta vie, c’est d’y penser de façon très lucide. Pense à ce que tu veux être, faire et avoir. Penses-y souvent jusqu’à ce que ce soit très clair pour toi. Alors, quand ce sera très clair, ne pense plus à rien d’autre. N’imagine aucune autre possibilité. Débarrasse-toi de toutes tes pensées négatives, de tes constructions mentales. Abandonne tout pessimisme. Délaisse tous les doutes. Rejette toutes les peurs. Entraîne ton esprit à s’accrocher à la pensée créative originale
  50. Tu ne peux résister à une chose à laquelle tu n’accordes aucune réalité. L’acte de résister à une chose est l’acte de lui accorder vie. Lorsque tu résistes à une énergie, tu la places là. Plus tu résistes, plus tu la rends réelle, peu importe ce à quoi tu résistes. Si tu ouvres les yeux devant une chose et que tu la regardes en face, elle disparaît. C’est-à-dire qu’elle cesse d’entretenir sa forme illusoire. Si tu regardes une chose, tu verras à travers elle, et à travers toute illusion qu’elle entretient pour toi, ce qui ne laissera à ta vue que l’ultime réalité. En face de l’ultime réalité, ta frêle illusion n’a aucun pouvoir. Elle ne peut te retenir longtemps dans sa poigne faiblissante. Tu en vois la vérité, et la vérité te libère
  51. Il est tout aussi inapproprié de négliger les besoins de ceux que tu as rendus dépendants de toi. Ta tâche consiste à les rendre indépendants; à leur enseigner aussi rapidement et aussi complètement que possible comment se débrouiller sans toi. Tant qu’ils auront besoin de toi pour survivre, tu ne leur rendras pas service; tu ne leur rendras vraiment service qu’au moment où ils s’apercevront que tu ne leur es pas nécessaire
  52. Les conditions et la situation présentes, tu peux les définir telles qu’elles sont vraiment : temporaires et temporelles. Tu peux ensuite t’en servir comme autant d’outils (car c’est ce qu’elles sont : des outils temporaires et temporels) dans la création de l’expérience présente
  53. Dans les moments difficiles tu as deux choix… Soit tu t’inquiètes et bloque la main de DIEU… Soit tu lui fais confiance et ta foi déclenche Son action… Mais tu ne peux pas faire les deux en même temps
  54. L’oiseau qui est né en cage qui croit que voler est une maladie
  55. Si tu ne payes pas aujourd’hui, le prix pour apprendre à entendre Dieu, tu paieras, demain, le prix fort pour ne pas l’avoir entendu !
  56. Il vaut mieux se retirer afin de laisser un beau souvenir plutôt que d’insister et que tout ne se transforme en douleur et peine… Ce qui n’est pas à toi n’est pas à toi peu importe les efforts que tu fourniras pour le conserver
  57. L’univers n’a pas de favoris. Votre succès et votre bonheur dépendent de lois et principes naturels – et comment vous les utilisez
  58. Celui qui refuse de se faire violence pour se déconnecter du monde pour se connecter à DIEU finira par se déconnecter de DIEU pour se connecter au monde
  59. Tu es seul responsable de ton histoire, Tu seras sans doute le seul aussi responsable de ton cauchemar… Prends donc les bonnes décisions
  60. Seigneur donne nous de ne point nous tromper de combat… Eve a trouvé Adam en Eden c’est a dire DÉJÀ DANS LA PRÉSENCE DE DIEU et non occupé à autre chose
  61. Ce que Dieu désire pour toi, c’est ce que TU désires pour toi. Rien de plus, rien de moins. Dieu n’est pas là à juger, requête par requête, s’il faut t’accorder quoi que ce soit. Sa loi est la loi de cause à effet, non la loi du Nous Verrons. Il n’y a rien que tu ne puisses avoir si tu le choisis
  62. Ta Vie découle de tes intentions à son égard
  63. En l’absence de tout le reste, tu n’existes pas. Tu n’es ce que tu es qu’en relation avec un autre qui ne l’est pas. Il en va ainsi dans le monde du relatif, par opposition au monde de l’absolu
  64. Tu dois d’abord voir toute la valeur de ton Soi avant de pouvoir voir toute la valeur de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord voir toute la grâce de ton Soi avant de pouvoir voir toute la grâce de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord connaître la sainteté de ton Soi avant de pouvoir reconnaître la sainteté de quelqu’un d’autre
  65. Lorsqu’on vit en termes de limitation des dégâts ou d’avantage optimal, on perd le véritable bénéfice de la vie. On perd une occasion. On perd une chance. Car on vit à partir de la peur. Tu n’es pas la peur, tu es l’amour. L’amour qui n’a besoin d’aucune protection, l’amour qui ne peut être perdu
  66. Choisir d’être semblable à Dieu ne veut pas dire choisir le martyre. Et certainement pas choisir d’être victime
  67. Tu n’as aucune obligation, ni dans une relation, ni de toute ta vie. Aucune obligation. Aucune restriction ou limite, aucune consigne ou règle. Tu n’es lié par aucune condition ou situation, ni contraint par aucun code ou aucune loi. Et tu n’es punissable d’aucune offense, ni capable d’aucune – car il n’y a rien d’offensant aux yeux de Dieu
  68. Dans une relation, tu n’as aucune obligation; tu n’as que des occasions. L’occasion, et non l’obligation, est la pierre d’assise de la religion, le fondement de toute spiritualité. Aussi longtemps que tu croiras l’inverse, tu auras raté l’essentiel
  69. Les relations personnelles à long terme présentent de remarquables occasions de croissance mutuelle, d’expression mutuelle et de satisfaction mutuelle et, en soi, c’est une récompense
  70. Assure-toi que tu entres en relation pour les bonnes raisons. Bonnes en rapport au but supérieur que tu t’es fixé dans la vie. Comme Je l’ai déjà indiqué, la plupart des gens entrent encore en relation personnelle pour les mauvaises raisons – pour mettre fin à la solitude, remplir un vide, se donner de l’amour ou quelqu’un à aimer – et ce sont certaines des meilleures raisons. D’autres le font pour apaiser leur ego, mettre fin à leur dépression, améliorer leur vie sexuelle, guérir d’une relation antérieure ou, crois-le ou non, soulager l’ennui
  71. Pour la plupart des gens, l’amour est une réponse à l’accomplissement de besoins. Tout le monde a des besoins. Tu as besoin de ceci, l’autre a besoin de cela. Chacun de vous voit dans l’autre une chance de combler ses propres besoins. Alors, vous vous entendez (de façon tacite) pour faire un échange. Je t’échangerai ce que j’ai si tu me donnes ce que tu as. C’est une transaction. Mais vous ne dites pas la vérité. Vous ne dites pas : Je t’échange beaucoup. Vous dites : Je t’aime beaucoup, et c’est alors le commencement de la déception
  72. Si tu veux des garanties dans la vie, alors tu ne veux pas la vie; tu veux des répétitions d’un scénario déjà écrit. La vie, par nature, ne peut offrir de garantie; cela irait à l’encontre de son but
  73. Sache et comprends qu’il y aura des défis et des moments difficiles. N’essaie pas de les éviter. Accueille-les. Avec gratitude. Considère-les comme de magnifiques cadeaux de la part de Dieu, de glorieuses occasions de faire ce que tu es venu faire dans la relation – et dans la vie. Dans ces périodes, essaie très fort de ne pas voir ta/ton partenaire comme ton ennemi(e) ou un(e) adversaire. En fait, essaie de ne voir en personne ni en rien un ennemi, ni même un problème
  74. Les attentes gâchent les relations humaines. Disons que les gens ont tendance à voir en eux-mêmes ce que nous voyons en eux. Plus grandiose est notre vision, plus grandiose sera leur volonté d’atteindre et d’exposer la part d’eux-mêmes que nous leur avons montrée
  75. Plus une question ou un enjeu est important, moins tu es susceptible d’écouter ta propre expérience, et plus tu sembles prêt à t’approprier les idées d’un autre
  76. Tu découvriras que tu n’as besoin d’aucune autorité extérieure pour te donner une direction, d’aucune source supérieure pour te fournir des réponses. Si tu y penses, si tu examines tes propres sentiments, les réponses te seront évidentes et tu agiras selon elles. Voilà ce qui s’appelle agir selon ta propre autorité
  77. La plupart d’entre vous préférez laisser à d’autres le soin de diriger et contrôler leur vie. Ainsi, la plupart d’entre vous n’êtes pas vos propres créateurs, mais des créatures de l’habitude : vous êtes des créatures des autres
  78. Quand d’autres t’ont dit comment tu devrais te sentir, et que cela contredit directement la façon dont tu te sens vraiment, tu éprouves un profond conflit intérieur
  79. Les approbations et démonstrations accompagnent rarement les décisions intérieures. On célèbre rarement celui qui choisit de suivre sa vérité personnelle
  80. Continue de grandir, Mon fils. Continue de devenir. Et continue de choisir ce que tu veux être, la prochaine version supérieure de ton Soi. Continue dans cette direction. Continue! Continue! C’est l’œuvre de Dieu que nous accomplissons, toi et Moi. Alors continue!
  81. Le problème que vit l’humanité est un manque de compréhension des principes d’abondance, habituellement ajouté à un très grand manque de jugement à propos de ce qui est bon et de ce qui est mauvais. Tu entretiens la pensée que l’argent est mauvais. Tu entretiens également la pensée que Dieu est bon. Mille fois merci! Par conséquent, dans ton système de pensée, Dieu et l’argent ne font pas bon ménage
  82. Si tu trouves qu’une chose est très bonne, tu lui accordes une valeur moindre en termes monétaires. Alors, meilleure elle est (c’est-à-dire plus grande est sa valeur), moins elle vaut en termes d’argent. Toute ta société entretient cette croyance. Par conséquent, vos enseignants reçoivent un salaire dérisoire et les strip-teaseuses, une fortune. Vos leaders font si peu, en comparaison des vedettes du sport, qu’ils se croient obligés de voler pour compenser la différence. Vos prêtres et vos rabbins vivent de pain et d’eau alors que vous lancez de l’argent aux vedettes du spectacle
  83. Si tu accordes à une chose une valeur intrinsèque élevée, tu insistes pour qu’elle soit bon marché. Le chercheur scientifique solitaire qui cherche un remède au sida quémande sans cesse de l’argent, tandis que la femme qui écrit un livre sur les cent nouvelles façons de faire l’amour et produit des cassettes et des séminaires de fins de semaine pour l’accompagner… récolte une fortune. Cette façon de penser contradictoire est une propension que vous avez; elle vient d’une idée fausse. Cette idée fausse, c’est celle que vous entretenez sur l’argent
  84. Rappelle-toi, les pensées sont créatives. Alors, si tu crois que l’argent est mauvais mais que tu te crois bon… Eh bien, tu peux voir le conflit
  85. Comme la plupart des gens font des choses qu’ils détestent pour gagner leur vie, ils n’ont pas d’objection à recevoir de l’argent en retour. Un mal pour un mal, pour ainsi dire. Le fait de recevoir de grosses sommes d’argent en échange de tes services serait, dans ton système de pensée, recevoir un mal pour un bien et c’est inacceptable à tes yeux. Tu préférerais crever de faim plutôt que de recevoir du fric pour un pur service… Comme si, d’une certaine façon, le service perdait sa pureté si tu recevais de l’argent en échange
  86. Ton point de vue n’est pas clair; tu n’es pas vraiment certain de ce qui est vrai pour toi. Et l’univers n’est qu’une grande photocopieuse; elle ne produit que des copies multiples de tes pensées. Par conséquent, il n’y a qu’une façon de changer tout cela : tu dois changer l’idée que tu t’en fais
  87. Sais-tu dans quelle mesure ton mental a engendré les pensées qu’il entretient maintenant? Sais-tu que c’est ton monde qui a manipulé ton mental pour qu’il pense comme tu le fais? Ne vaudrait-il pas mieux que ce soit toi qui manipules ton mental, plutôt que le monde? Ne vaudrait-il pas mieux, pour toi, de former les pensées que tu veux avoir, plutôt que celles des autres? N’es-tu pas mieux armé avec des pensées créatives plutôt qu’avec des pensées réactives?
  88. Ton mental est rempli de pensées réactives – de pensées qui naissent de l’expérience des autres. Un très petit nombre de tes pensées naissent de données que tu as produites, encore moins de préférences que tu as produites
  89. Les êtres humains ont deux pensées racines à changer à propos de l’argent. Au moins deux et probablement bien davantage : l’argent est mauvais… l’argent est rare… on ne peut recevoir d’argent pour accomplir l’œuvre de Dieu (c’est une pensée importante pour toi)… l’argent n’est jamais gratuit… l’argent ne pousse pas dans les arbres (alors qu’en fait, il y pousse)… l’argent corrompt…
  90. Ce que Je veux vraiment, c’est ce que tu veux vraiment – ni plus, ni moins. Ne vois-tu pas que c’est le plus grand cadeau que Je t’aie fait? Si Je voulais que tu aies autre chose que ce que tu veux, puis si Je faisais en sorte que tu l’obtiennes, où serait ton libre choix? Comment peux-tu être un être créatif si Je dicte ce que tu seras, feras et auras? Ma joie est dans ta liberté, non dans ton obéissance
  91. Une grande part de ton expérience actuelle est fondée sur ta pensée antérieure. La pensée mène à l’expérience, qui mène à la pensée qui mène à l’expérience. Lorsque la pensée racine est joyeuse, cela peut produire une joie constante. Lorsque la pensée racine est infernale, cela peut provoquer, et cela provoque, un enfer continuel
  92. Lorsque tu voudras changer une pensée de base, agis selon la nouvelle pensée que tu as. Mais tu dois agir rapidement, sinon ton esprit va tuer l’idée avant que tu t’en rendes compte. Je veux dire littéralement que l’idée, la nouvelle vérité, sera morte en toi avant que tu aies la chance de la connaître. Alors, lorsque l’occasion se présentera, agis rapidement, et si tu fais cela assez souvent, ton esprit va bientôt saisir l’idée. Ce sera ta nouvelle pensée
  93. Les gens qui gagnent leur vie à faire ce qu’ils aiment, sont ceux qui insistent pour le faire. Ils n’abandonnent pas. Ils ne cèdent jamais. Ils mettent la vie au défi de ne pas les laisser faire ce qu’ils aiment
  94. Si tu crois que ta vie est centrée sur le faire, tu ne comprends pas ta raison d’être. Ton âme ne se soucie pas de ce que tu fais pour gagner ta vie – et quand ta vie sera finie, tu ne t’en soucieras pas non plus. Ce qui compte pour ton âme, c’est uniquement ce que tu es pendant que tu fais ce que tu fais, peu importe quoi. Ce que recherche l’âme, c’est un état d’être et non un état de faire
  95. Rien ne t’arrive ou n’arrive par ton intermédiaire si ce n’est pour ton plus grand bien
  96. L’âme te mène aux occasions bonnes et parfaites pour que tu vives exactement ce que tu avais l’intention de vivre. Ce que tu vis en réalité, cela dépend de toi. Ce pourrait être ce que tu avais l’intention de vivre, ou ce pourrait être autre chose, selon ce que tu choisis
  97. De certains états d’âme naîtra une vie si riche, si pleine, si magnifique et si gratifiante que tu ne te soucieras ni des biens matériels ni du succès matériel. L’ironie de la vie, c’est que dès que tu ne te préoccupes plus des biens matériels et du succès matériel, la voie est ouverte pour qu’ils circulent dans ta direction. Rappelle-toi : tu ne peux avoir ce que tu veux, mais tu peux faire l’expérience de ce que tu as
  98. L’univers n’a pas d’autre choix que de t’amener la manifestation directe de ta pensée à son égard
  99. Les affirmations ne fonctionnent pas si elles ne sont que l’énoncé de ce que tu veux tenir pour vrai. Les affirmations ne fonctionnent que lorsqu’elles énoncent ce que tu sais déjà être
  100. La meilleure de ces affirmations est un énoncé de gratitude et d’appréciation. Merci, Dieu, de m’apporter le succès dans ma vie. Alors, cette idée-là, pensée, dite et mise en action, produit des résultats magnifiques lorsqu’elle provient de la connaissance véritable : non pas d’une tentative de produire des résultats, mais d’une conscience que les résultats se sont déjà produit
  101. Vas-y, fais ce que tu aimes vraiment! Ne fais rien d’autre! Tu as si peu de temps. Comment peux-tu songer à gaspiller un seul instant à faire, pour vivre, quelque chose que tu n’aimes pas? Quel est ce genre de vie? Ce n’est pas une vie, c’est la mort!
  102. Dans l’ordre véritable des choses, on ne fait pas quelque chose afin d’être heureux : on est heureux et, par conséquent, on fait quelque chose. On ne fait pas quelque chose afin d’être compatissant, on est compatissant et, par conséquent, on agit d’une certaine manière
  103. Tu as droit à la joie, enfants ou pas, conjoint(e) ou pas. Cherche-la! Trouve-la! Et tu auras une famille joyeuse, peu importe combien d’argent tu gagnes. Et s’ils ne sont pas joyeux, et qu’ils se lèvent et s’en vont, libère-les avec amour afin qu’ils cherchent leur joie
  104. Les gens fument et se demandent pourquoi ils ont le cancer. Les gens ingèrent des animaux et des matières grasses et se demandent pourquoi ils ont les artères bloquées. Les gens demeurent en colère toute leur vie et se demandent pourquoi ils ont des crises cardiaques. Les gens sont en concurrence avec d’autres (sans pitié et sous une pression incroyable) et se demandent pourquoi ils subissent des attaques
  105. L’inquiétude est l’une des pires formes d’activité mentale, à l’exception de la haine, qui est profondément autodestructrice. L’inquiétude est inutile : c’est de l’énergie mentale gaspillée. Elle crée aussi des réactions biochimiques nocives pour le corps et produit une multitude de problèmes allant de l’indigestion à l’infarctus
  106. Ta santé s’améliorera presque aussitôt que cessera l’inquiétude. La haine est l’état mental le plus nocif. Elle empoisonne le corps, et ses effets sont à toutes fins pratiques irréversibles. La peur est le contraire de tout ce que tu es; elle a donc un effet antagoniste sur ta santé mentale et physique. La peur est un agrandissement de l’inquiétude. L’inquiétude, la haine, la peur – combinées à leurs sous-produits: l’anxiété, l’amertume, l’impatience, l’avarice, le manque de gentillesse, la tendance au jugement et la condamnation – attaquent toutes le corps au niveau cellulaire. Dans de telles conditions, il est impossible d’avoir un corps sain. De même, bien que ce soit à un degré moindre, la dissimulation, l’auto-gratification et l’avidité mènent toutes à la maladie physique, ou au manque de bien-être. Toute maladie est d’abord créée dans le mental
  107. Rien ne se produit dans ta vie – rien – qui ne soit d’abord une pensée. Les pensées sont comme des aimants qui attirent des effets vers toi. Les pensées sont des formes d’énergie très subtiles mais extrêmement puissantes. Les paroles sont moins subtiles, plus denses. Les actions sont quant à elle les plus denses de toutes
  108. L’action, c’est de l’énergie sous une forme physique lourde, en mouvement lourd
  109. Je ne t’ai rien donné de honteux, surtout pas ton propre corps et ses fonctions. Tu n’as pas à cacher ton corps ni ses fonctions, ni l’amour que tu leur portes, ni votre amour les uns envers les autres

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